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Bonjour, je m’appelle Loïc, j’ai 29 ans, je suis infirmier et j’habite sur Aix-en-Provence. Un matin, je descendais sur Aix-en-Provence par on appelle ça la descente de Célony et là j’ai vu un bouchon qui partait du haut d’Aix-en-Provence sur 20 kilomètres de long qui allait sur Marseille. Et je me suis dit tous les matins je vais faire ça. Tous les matins je vais me lever, je vais aller dans le bouchon, je vais aller travailler et le soir, le soir même du jour même je me suis dit la même chose, je me suis dit mais putain, je suis encore dans le bouchon, je reviens de Marseille, c’est quand même un truc de dingue.
Et les gens dont j’en fais partie on est dans une cage. Le matin on se lève, on va faire ce qu’on doit faire et le soir on rentre et ça se répète et ça se répète et ça se répète. Et on profite pas de la vie, on profite pas de ses loisirs, ses passions et on voit pas sa famille. Le déclic ça a été vraiment ce bouchon à ce moment et cette répétition de me dire mais putain, je suis encore dans le bouchon, mais est-ce que je vais faire ça toute ma vie ? Et j’ai 28 ans, j’ai 29 ans, je vais faire ça toute ma vie, non, non. Je vais trouver un moyen de sortir de là, de sortir de cette cage de la fourmilière. Par rapport à ma profession, je me suis demandé si ils accorderaient un prêt avec l’ancienneté des un an et demi. J’ai obtenu des accords, oui on pourrait vous financer sur un investissement locatif. J’ai dit oh, avec un an et demi seulement on peut. Donc ça a été le déclic de passer à l’action. Mon premier investissement je l’ai acheté après quatre mois de formation. J’ai trouvé mon premier immeuble à vingt minutes d’Aix-en-Provence, quasiment à 10 de rentabilité, 9,7 plus précisément. Je l’ai acheté après une petite négociation qui m’a fait obtenir 20.000 euros. J’ai payé exactement 167.000 frais d’agence inclus et il me rapporte tous les loyers hors charges on est à 1.345 euros. Ça va me laisser dans ma poche 500 euros de cash flow. Ma première bonne affaire je l’ai trouvée sur Leboncoin, après deux, trois mois de recherche. C’était un immeuble qui était en vente depuis six mois. Il y avait eu beaucoup de visites et des propositions trop basses. Donc je me suis situé entre les deux et c’est passé. Avec les banques, ça s’est plutôt bien passé et j’étais même agréablement surpris parce que notre profil : fonctionnaire, CDI, profession libérale, ils adorent. Je pensais que les banques étaient vachement rigides avec en gros ils prêtaient, ils accordaient des crédits qu’à des gens qui ont beaucoup d’épargne, qui ont des très gros revenus, mais pas du tout. Ce qu’ils cherchent avant, et je le savais pas, mais ce qu’ils cherchent avant tout c’est une certaine sécurité sur l’emploi. C’est-à-dire qu’ils préfèrent, et ma femme elle gagne que 1.500 euros net mais elle est fonctionnaire en CDI. Ça a été vraiment limite même plus facile avec son petit salaire et son cdi que moi avec un salaire plus élevé, mais une profession libérale, donc avec des fluctuations de salaire.
Si je voulais investir dans l’immobilier, au début non. J’ai pas pensé du tout. C’est mon mari qui a surtout engagé le projet, mais après une fois qu’il a entamé la formation et que il a commencé à actionner, à aller visiter, à s’intéresser aux agences, oui ça m’a interpellée. J’ai commencé à m’investir au projet, mais c’est venu petit à petit avec lui. C’est vrai qu’à la base j’avais jamais pensé du tout à partir là-dedans. Pour moi, on avait appris le métier d’infirmier, je me voyais voilà faire ma carrière dans ce métier et comme tout le monde y rester, faire sa carrière, se lever le matin, rentrer le soir et continuer son train-train.
Après avoir signé le compromis, je me suis dit que le compromis ça allait mettre deux à trois mois avant la signature finale, donc pourquoi pas continuer à rechercher et je me suis remis sur Leboncoin et j’ai trouvé dans les quinze jours, trois semaines après une petite annonce très intéressante dans une autre ville qui n’est pas la même et j’ai visité, j’ai acheté tout de suite. Le deuxième je l’ai acheté 123.000 euros, il va me rapporter aussi 500 euros de cash flow positif.
Dans un couple, il y en a un qui est motivé pour la formation et l’autre est plus réticent. Donc en même temps des fois c’est bien parce que ça ralentit un peu la ferveur du premier qui va peut-être s’emballer trop vite, mais voilà, il faut se laisser guider et il faut pas hésiter à faire confiance en l’autre parce que finalement on voit que ça marche. Et au fur et à mesure en fait des étapes, des visites, des appels qu’on a, des études de marché, nous on se rend compte que ça fonctionne, que ça marche et on prend de plus en plus confiance dans le projet et dans son conjoint, et finalement après on se laisse embarquer et ça coule de source.
Le MasterClass s’est passé d’une manière assez simple parce que j’ai travaillé sur chaque module et j’ai appliqué ce que disait chaque module : trouver son immeuble, faire son étude de marché, ensuite obtenir son financement et ainsi de suite et ainsi de suite et ça s’est passé très bien. Ce que j’ai vraiment aimé dans la formation c’est la simplicité et c’est concret. C’est-à-dire que il y a des tableaux, il y a des renseignements, c’est hyper compréhensible, je veux dire même un néophyte, moi qui suis pas du milieu du tout bancaire ou de l’immobilier, je suis infirmier donc je suis pas du tout dans là-dedans, c’était hyper simple, hyper pédago en plus. Si j’avais pas rejoint la formation, j’aurais fait l’erreur comme d’autres investisseurs débutants et néophytes d’acheter un seul appartement, des fois même un peu trop cher et du coup d’avoir un seul loyer. Donc en ayant un seul loyer, on sécurise pas la banque sur des investissements futurs. Alors qu’avec un immeuble, on a trois loyers qui tombent ou deux ou même plus, et du coup la mensualité de crédit est remboursée par un locataire et tout le reste c’est du positif, c’est du cash. Avec un immeuble, on divise le risque. Les difficultés que j’ai rencontrées c’est vraiment sur le secteur de recherche. Aix-en-Provence et ses environs, c’est 3.000 euros minimum du mètre carré. Donc pour trouver de la rentabilité à des prix au mètre carré aussi élevés c’est quasi impossible. Si vous gravitez autour d’Aix-en-Provence, il y a des petits villages très intéressants qui sont attractifs malgré tout parce que les loyers sont moins élevés, mais malgré tout ça dégage de la rentabilité. Le point-clé c’est l’étude de marché et ne pas hésiter à aller sur des petits villages qui semblent peut-être un peu perdus, mais à vingt ou trente minutes d’Aix-en-Provence, car il y a de l’attractivité et il y a de la rentabilité. Je pense que l’immobilier c’est compliqué si on a pas les bons outils ou si on a pas les bonnes bases. Je veux dire c’est comme apprendre un métier je veux dire, c’est on devient pas infirmier comme ça par hasard. On suit une formation, et l’immobilier pour moi c’est aussi avoir des notions précises, et suivre une formation ça nous apprend ces notions-là. Je suis pas agent immobilier, mais j’ai acquis avec la formation toutes les notions que d’autres personnes n’ont pas. Dans le futur, je me vois me réveiller le matin à l’heure où j’ai envie et de pas avoir l’obligation de partir faire quelque chose qu’on a pas envie. Je vais choisir ce que je veux faire de ma journée. Si j’ai envie d’aller faire du parapente, je vais faire du parapente. Si j’ai envie d’aller avec mon fils à la plage, je vais avec mon fils à la plage, etc. etc. etc.
Là, le fait d’en avoir acheté deux et d’avoir été faire des rénovations, d’être plus présent sur le projet, moi dans l’avenir je me vois plus, Loïc c’est vrai que lui ralentira son travail, moi je continuerai peut-être mon travail, mais d’une autre manière parce que malgré tout j’aime ce que je fais, mais peut-être voilà ralentir l’activité et faire un mi-temps et en même temps pouvoir profiter avec Loïc et continuer sur l’immobilier.
Ma vie avant l’immobilier c’était d’attendre le week-end, d’attendre mes repos, mes congés pour pouvoir profiter de la vie. Maintenant, l’immobilier ça m’a permis, grâce aux investissements et de voir que ça marche, de se dire mais c’est possible. Je vais pouvoir dans un court terme, moyen terme, obtenir plus de congés, plus de repos, à dégager plus de temps libre par rapport aussi à ma profession libérale. Je dirais à quelqu’un qui hésite de ne pas hésiter parce que c’est vrai que c’est un, on a du mal à passer à l’action, on a du mal à se dire est-ce que c’est la bonne formation, il y en a tellement à droite, à gauche, mais une fois qu’on passe à l’action, une fois qu’on achète cette formation, après tout coule de source et c’est un booster pour passer à l’action en fait cette formation. On apprend, on voit que c’est simple et on passe à l’action. La preuve, j’ai acheté deux immeubles.
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